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Cancérologie : le CHU et les radiologues libéraux inaugurent un centre d’imagerie

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Jean-Pierre Dewitte, administrateur du GIE et directeur général du CHU, a salué l’intelligence de la conduite de ce projet avec les radiologues libéraux, permettant d’offrir aux patients atteints d’un cancer et pris en charge en ambulatoire « un parc d’imagerie remarquable, unique en France au sein d’un établissement public » : une offre de soins de grande qualité, des délais d’attente réduits et donc un diagnostic plus rapide.

« L’ouverture de ce centre remarquable est une double satisfaction, à la fois en tant que médecin imageur et président du comité départemental de la Ligue contre le cancer, a renchéri le Dr Philippe Chartier, administrateur du GIE, radiologue et président de la SAS scanner-IRM du Poitou-Charentes. Nous souhaitons renforcer la dynamique régionale de prise en charge des patients, sur un site unique, mais aussi garantir l’égalité des chances et associer nos compétences au profit de la guérison de nos malades. À terme, les possibilités de superposition d’images, offertes par un rapprochement avec la radiothérapie, sont aussi très prometteuses. »

« Aborder l’intégration de la future grande région avec tranquillité »
Le succès rencontré par le pôle régional de cancérologie depuis son ouverture en 2009 a impliqué des besoins croissants en imagerie. Après la réussite du GIE Positon Poitou-Charentes, monté en 2001 et marqué par l’inauguration du TEP en 2012, le nouveau GIE en imagerie est un pas de plus vers une prise en charge globale en cancérologie, assurée par des professionnels compétents, avec des équipements de haute technologie. « 2015 a également vu l’ouverture de 15 lits d’oncologie médicale au pavillon Aristide-Maillol, alors qu’en 2016, se profile déjà la mise à niveau du plateau de radiothérapie. De quoi aborder l’intégration de la future grande région avec tranquillité », a assuré Jean-Marc Tourani, chef du pôle de cancérologie.

Inauguration du GIE au PRC

Inauguration du GIE au PRC

« Avec cette nouvelle offre de soins, plus rapide et plus sûre, le CHU répond à ses missions de proximité, de référence régionale, de recherche et de soins, a souligné Alain Claeys, député-maire de Poitiers et président du conseil de surveillance du CHU. L’association du public et des libéraux permet de mutualiser les moyens et de faire face aux problèmes de recrutement des imageurs. Le CHU ne doit pas être frileux dans ses échanges – recherche, partages d’expériences – que ce soit avec d’autres centres hospitaliers ou avec le privé, afin de trouver toute sa place dans le grand chantier de la santé publique et de l’imagerie médicale. »

Arnaud Tranchant, délégué territorial de l’Agence régionale (ARS) de santé Poitou-Charentes, a conclu en rappelant l’importance de l’acquisition d’une IRM et d’un scanner, demandés par l’ARS, dans un contexte de forte augmentation des délais d’attente pour l’accès aux examens d’imagerie dans la région observé ces dernières années. « La lutte contre le cancer, première cause de mortalité dans notre région, est un enjeu majeur, et la prise en charge des patients qui en sont atteints une priorité », a-t-il appuyé.

Pour toute demande de rendez-vous : 05 33 00 00 48.

Ouverture du centre du lundi au vendredi, de 8h à 18h.

 


Montmorillon : en route vers un nouveau visage de l’hôpital

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L’objectif prioritaire de ce projet architectural est la reconstruction des blocs opératoires, pour les rendre plus fonctionnels, et mettre à disposition des espaces et des circuits adaptés à une prise en charge en ambulatoire. Un autre point fort sera la création d’un espace dédié à la chirurgie ambulatoire et l’hôpital de jour, pour mutualiser les organisations et permettre d’avoir en permanence des marges d’adaptation aux évolutions de nos activités. Le projet permettra aussi la reconstruction d’un service médico-chirurgical d’hospitalisation complète, à la fois fonctionnel et flexible dans l’attribution des lits, qui permette là encore de s’adapter au fil du temps aux pathologies et aux activités prises en charge.

Enfin, l’hôpital de Montmorillon pourra disposer d’un plateau de consultations regroupé dans un seul lieu, permettant d’accueillir des salles de consultations polyvalentes, des salles spécialisées (ophtalmologie, gynécologie) et même d’offrir un lieu dans l’enceinte de l’hôpital à certains partenaires extérieurs. La construction de ce nouveau bâtiment permettra aussi, en dégageant les locaux actuellement occupés par les blocs opératoires, de bénéficier de nouveaux espaces, tant pour résoudre les dysfonctionnements actuels rencontrés aux urgences, que pour permettre des évolutions ultérieures du plateau technique.

Ce projet ambitieux va redessiner complètement le paysage hospitalier, et reliera aussi par une passerelle le bâtiment des Marronniers au reste de l’hôpital. Pour le mener à bien, toutes les énergies, toutes les expertises, toutes les imaginations aussi, seront nécessaires. Les principes sont clairement énoncés, leur déclinaison nécessite encore de nombreux temps d’échanges avec l’ensemble des professionnels du Centre hospitalier de Montmorillon, les ingénieurs du CHU et l’assistance à maîtrise d’ouvrage. Les conséquences de la démolition préalable du bâtiment de chirurgie sont à l’étude, pour gérer au mieux le transfert de chacune des activités concernées.

Le projet architectural vu par…

Dr Anne Keller, présidente de la CME
Le nouveau projet architectural vient répondre aux évolutions de l’activité du Centre hospitalier de Montmorillon : il s’agit aujourd’hui de proposer un fonctionnement plus efficace, pour faire face aux défis de l’avenir. Je pense notamment au développement de la chirurgie ambulatoire, ou encore l’adaptation de l’hôpital à la demande des patients, en termes de confort, et du personnel médical, paramédical, soignant et administratif, en termes d’ergonomie.
Laurent Chatenet, responsable des services techniques
La réalisation de ce projet finalisera l’aspect du centre hospitalier en reliant les bâtiments construits récemment, ce qui donnera à l’ensemble du site une cohérence architecturale. Au niveau de la logistique, ces constructions et restructurations optimiseront le fonctionnement des services concernés, grâce à une organisation adaptée et une mutualisation des locaux. Les circuits patients seront également pris en compte pour être les moins contraignants possibles.
Didier Charlot, infirmer anesthésiste
Les blocs opératoires du centre hospitalier sont anciens et commencent à être inadaptés. Les nouveaux locaux, répondant aux dernières normes, vont améliorer nos conditions d’exercice.
Dr Thomas Courvoisier, chirurgien viscéral au CHU au CHM
L’activité du bloc opératoire évolue sans cesse. On assiste à une augmentation des actes d’ophtalmologie, la réalisation récente d’actes de pneumologie et prochainement la prise en charge de geste opératoire d’urologie et de gynécologie. Tout cela s’ajoute à une activité constante et chargée d’orthopédie, une augmentation progressive des interventions de chirurgie viscérale ainsi qu’une activité fournie de gastro-entérologie. Dans ce contexte, la reconstruction des salles opératoire s’impose.
Florence Loger, cadre supérieur de santé FF de directrice des soins
Notre projet architectural est l’aboutissement de notre projet d’établissement. C’est une nécessité et une formidable opportunité pour fédérer les équipes soignantes autour d’un projet commun très attendu. Nous, soignants, souhaitons mettre le patient au coeur du dispositif en travaillant sur l’amélioration des conditions d’accueil et la fluidité du parcours patient. Nous sommes prêts à repenser nos organisations : fonctionnalité et efficience guideront nos réflexions.
Charlotte Breton, adjointe administrative au pôle chirurgie
Tous les secrétariats de consultations en médecine et en chirurgie vont être regroupés dans des locaux neufs. C’est un grand changement : la communication va être facilitée, et nous allons pouvoir harmoniser et améliorer nos pratiques.
Dorothée Bazin, infirmière en hôpital de jour
L’unité actuelle d’aministration de chimiothérapies ne peut plus accueillir tous les patients dans le même service. Le futur bâtiment, adapté à la forte augmentation de notre activité, permettra une meilleure organisation et donc une meilleure prise en charge du patient. Par ailleurs, la mise en place d’un plateau de consultations unique facilitera leur orientation.

Carte d’identité virtuelle du nouveau bâtiment

 

Plan de Montmorillon

  • Surfaces en construction : environ 6 000 m2
  • Surfaces en restructuration : environ 1 000 m2
  • Estimation prévisionnelle du projet : 20 millions d’euros, dont 18 millions pour la réalisation du bâtiment à construire et 2 millions pour la restructuration de l’ancien bloc opératoire et du service actuel des urgences
  • Calendrier prévisionnel :
    • Lancement de la procédure de concours MOE : octobre 2015
    • Début des études de conception : juin 2016
    • Travaux : 2018-2019
  • Energies mobilisées : 100 %

Consommation électrique : Jean-Bernard renvoie l’ascenseur

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Le remplacement des moteurs, vieux de 35 ans, par des dispositifs plus performants, a permis de diminuer de moitié la consommation électrique, ce qui n’est pas négligeable au vu de l’activité de ces douze ascenseurs. Au total, les économies sont ainsi estimées à 50 000 euros par an. De plus, l’énergie générée par le freinage est aujourd’hui transformée en énergie électrique, puis consommée instantanément par l’armoire électrique de l’ascenseur.

C’est enfin la sécurité des ascenseurs qui a été améliorée : les câbles ont été remplacés par un système de cinq courroies dont la continuité est testée en permanence par un faible courant électrique. Rassurant, quand on sait que leur vitesse s’élève à 2,5 mètres par seconde ! La vétusté d’un ascenseur étant fixée à vingt ans d’activité, la plupart des autres pavillons de la Milétrie font également figure de bons élèves (Maillol, Claudel, UBM, PRC, satellite technique) ; si l’on excepte Beauchant, Salles et Rodin, équipés dans les années 80.

Site du CHU de Poitiers : une nouvelle version visible sur tous les supports

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La façon de mettre en valeur le très riche contenu du site a aussi été revue. Ainsi, chaque spécialité médicale a maintenant son mini-site dédié, lui aussi en responsive design. Tout en conservant une charte graphique commune, chaque mini-site se démarque par un fond d’écran et un menu personnalisé et adapté à la spécialité. Un clic sur le logo du CHU permet de revenir au site principal à tout moment si besoin.

Sur la page d’accueil du site, les actualités et l’agenda sont davantage mis en avant grâce au large diaporama d’entrée. Les renseignements et services utiles (numéros d’urgences, horaires des consultations, paiement en ligne…) sont eux aussi plus visibles et faciles d’accès.

Questions à Julien Dutilh, pneumologue

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Votre arrivée dans le service de pneumologie a permis de développer considérablement l’activité d’endoscopie interventionnelle. En quoi consiste cette pratique ?
L’endoscopie interventionnelle regroupe les endoscopies thérapeutiques (bronchoscopie rigide) et certaines endoscopies complexes. Pour ce qui est des bronchoscopies rigides, cette technique s’utilise principalement dans les cas de cancers du poumon pour désobstruer les bronches, puis pour mettre en place des prothèses après la désobstruction. Bien que cette activité existe au sein du service de pneumologie CHU de Poitiers depuis plusieurs années, l’apport de mon expérience acquise dans un service d’endoscopie interventionnelle spécialisé a permis de créer une véritable équipe interventionnelle, médicale et soignante. Cela a favorisé la pratique régulière de l’endoscopie interventionnelle, de manière hebdomadaire et parfois en urgence, ainsi que la réalisation de deux à trois écho-endoscopies bronchiques par semaine (un acte permettant de biopsier les ganglions médiastinaux).

Quels sont les enjeux de ce développement ?
Il s’agit de pratiques relativement invasives qui ne se font qu’en CHU, car elles nécessitent un équipement spécifique et la proximité d’un plateau de réanimation. Nous avons créé une nouvelle activité régionale de recours, importante notamment pour les centres hospitaliers du Poitou-Charentes, qui devrait encore pouvoir se développer davantage grâce à l’ouverture prochaine centre d’explorations techniques et interventionnelles au CHU. En tant que membre de groupe d’endoscopie de langue française, je prends également part à des protocoles de recherche clinique mutualisés, actuellement sur les simulateurs en endoscopie. Au CHU, nous travaillons à la création d’un protocole de recherche clinique en écho-endoscopie, à l’horizon 2016.

Quelle est votre activité en cancérologie ?
Nous sommes trois pneumologues, dont deux à mi-temps, à exercer au pôle régional de cancérologie. Je reçois des patients atteints de cancers du poumon pour des traitements par chimiothérapie, je participe aux réunions de concertation pluridisciplinaire d’oncologie thoracique, et j’assure leur suivi en consultation, en relation avec le service de pneumologie et de chirurgie thoracique. Je participe par ailleurs à une activité de recherche clinique. Une dizaine d’essais cliniques sont actuellement ouverts, nous permettant de tester de nouveaux protocoles et médicaments dont certains aboutiront à une mise sur le marché.

Pourquoi était-il important de créer une journée de consultations par semaine, en pneumologie, à Montmorillon ?
Cela nous a permis d’apporter une offre de soins de proximité aux habitants du Montmorillonais, en proposant sur place des consultations de pneumologie, des fibroscopies bronchiques et des explorations fonctionnelles respiratoires. En l’espace de six mois, nous avons rempli tous nos créneaux, avec notamment des patients qui n’auraient pas toujours fait le déplacement jusqu’à Poitiers. La prise en charge du cancer du poumon a été considérablement améliorée : du dépistage au soin, en lien avec le pôle régional de cancérologie du CHU, le patient dialogue avec un interlocuteur unique de proximité, ce qui est bien sûr plus confortable et rassurant.

Néonatologie : des dessus de lits cousus main offerts aux bébés

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"Nous avons cousu pendant 24h. Ces vingt dessus de lit – des pièces uniques – sont autant de tâches de couleur et de gaité en signe de bienvenue aux nourrissons", a appuyé Anne-Marie Grand-Clément, présidente de l’association "Ô fil de la Boivre". Mercredi 25 novembre, celle-ci est venue avec une dizaine d’adhérents remettre au service de néonatalogie du CHU les "baby quilts", confectionnés lors du Téléthon de Biard l’an passé. Du 5 au 6 décembre 2014, une centaine de bénévoles avaient répondu au challenge : réaliser des patchworks pendant 24 heures non-stop lors d’une journée festive. Fondée en 2010 à Biard, "Ô fil de la Boivre" réunit aujourd’hui une quarantaine d’amateurs de patchwork et autres travaux d'aiguille, parmi lesquelles beaucoup de grand-mères sensibles aux tout-petits.

Se faire opérer par un robot, une première au CHU de Poitiers

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Alors que le chirurgien avait commencé à opérer, une variation anatomique qui ne pouvait être détectée au scanner est venue complexifier l’intervention, qui n’aurait sans doute pas été possible en cœlioscopie. Sans la précision permise par les trois bras porte-instruments articulés à 360° et la caméra 3D du robot, ce patient aurait donc dû être opéré en chirurgie classique, impliquant une incision beaucoup plus importante et un temps de récupération plus long. « L’ambiance au bloc opératoire était sereine : chaque membre de l’équipe était coordonné aux autres en toute confiance, assure le chirurgien, satisfait de cette première. Nous avons chacun bénéficié d’une intense phase de préparation, sur deux mois, avec 30 heures de simulateur sur place – comme les pilotes d’avion de ligne ! – et des temps de formations dans d’autres CHU, notamment à Tours, où j’avais été formé en 2007 à la chirurgie robotique pendant un an. »

 

Réduire les cicatrices et les temps de récupération
Régis L, premier patient à avoir bénéficié de l’intervention du robot au CHU de Poitiers, se porte bien. Cette acte mini-invasif ne lui a laissé que quatre minces cicatrices, une de 5 cm et trois de 0,5 cm. Un atout sur le plan esthétique, mais surtout sur le plan de la récupération, qui lui a évité les complications postopératoires qu’aurait pu favoriser son insuffisance respiratoire. Alimenté le jour-même de son intervention, Régis était sur pied le mercredi et sorti le jeudi, soit trois jours seulement après l’opération. Plus d’une semaine aurait été nécessaire après une chirurgie traditionnelle. « Je sens une petite douleur sur le côté, mais tout est normal, témoignait-il au lendemain de l’intervention. Le Dr Celhay et mon médecin traitant m’avaient bien expliqué que je serai opéré à l’aide d’un robot. Comme je suis un peu aventurier et que j’ai travaillé dans la mécanique, j’ai accepté : il faut suivre les évolutions du métier ! »

Depuis l’annonce de l’arrivée du robot au CHU, le service d’urologie, qui l’inaugure dans un premier temps, a constaté une nette augmentation des demandes des patients. Le Dr Olivier Celhay et son confrère, le Dr Pierre Pillot, affichent déjà complet jusqu’à fin février. L’essentiel de leurs interventions concernent les cancers du rein, de la prostate, de la vessie (ablation de la tumeur, de l’organe, reconstruction d’organe), ainsi que la chirurgie de la statique pelvienne. Dès le début 2016, les prélèvements familiaux de reins sur donneurs vivants commenceront à être réalisés en chirurgie robotique, qui s’étendra par ailleurs rapidement à d’autres spécialités comme la gynécologie et la chirurgie digestive. « Les chirurgiens attendaient le robot avec impatience, appuie le Dr Celhay. Cette chirurgie de pointe, mini-invasive, permet des gestes beaucoup plus techniques et ouvre la voie à de nombreuses innovations. C’est un bénéfice immense pour les patients. »

Rencontre médico-juridique : le secret professionnel abordé par le jeu

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À l’aide de cartons de couleur, chacun pouvait répondre aux questionnaires à choix multiples. Une façon simple et amusante de capter l’attention du public sur des problématiques juridiques parfois compliquée. Deux experts, Franck Duclos, le président du Conseil de l’ordre des médecins de la Vienne, et Lionel Béthune de Moro, avocat spécialiste du droit pénal et ancien bâtonnier de la Charente, avaient ensuite pour mission de donner la bonne réponse et de développer le thème abordé (accès au dossier médical, sanctions disciplinaires et judiciaires, bonnes utilisations des réseaux sociaux, situations où le secret médical peut être rompu…).

C’est Bertrand Debaene, le président de la commission médicale d’établissement, qui est à l’origine de ses rencontres médico-juridiques. « Le secret professionnel, plus large que le secret médical, est une thématique qui nous a beaucoup inquiété et que nous souhaitions aborder avec des experts. La prochaine rencontre concernera la tutelle et la curatelle. »


Orthopédie-traumatologie : réorganisation et développement de la filière membre supérieur et main

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Bienvenue à… Caroline Lozi et Raphaël Rolland

La création de l’unité membre supérieur et main a vu le jour grâce au recrutement en octobre des Drs Caroline Lozi et Raphaël Rolland. Arrivés tout droit du service « SOS main » d’une clinique avignonnaise, les deux chirurgiens se sont spécialisés en obtenant, entre autres, deux diplômes universitaires en chirurgie de la main et en microchirurgie. « Notre challenge est de monter une activité mal représentée en Poitou-Charentes, en assurant une prise en charge des urgences de la main et du membre supérieur 24h/24, dans toute la région, projettent les chirurgiens. Quel que soit le degré de gravité, de le petite plaie au doigt amputé, les urgentistes de toute la région pourront nous adresser leurs patients ». Un numéro de téléphone dédié aux urgences du membre supérieur et de la main a été mis en place pour optimiser la réactivité des soins, c’est le 05 49 44 47 33. Plus rapide et de meilleure qualité, cette nouvelle offre de proximité, concernant aussi bien les urgences que l’activité programmée, permettra d’éviter la fuite des patients vers les régions voisines. « Notre spécialité se prête par ailleurs très bien à la chirurgie ambulatoire, ce qui va permettre de développer l’activité du service dans ce sens », ajoutent-ils.

Le saviez-vous ?

« Orthopédie » vient du grec ancien « orthos » (« droit ») et « paidos » (« enfant ») : étymologiquement, remettre les enfants droit !

Voir le mini-site du service de chirurgie orthopédique et traumatologie.

Journée d’échange sur la réparation tissulaire : des outils pour être de meilleurs panseurs

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Elle a réuni 170 participants, dont 80 % d’infirmiers (hospitaliers, libéraux, d’Ehpad, d’hospitalisation à domicile), mais aussi des médecins, des chirurgiens ou encore des pharmaciens. L’objectif de cette journée de formation pluridisciplinaire, organisée en partenariat avec les laboratoires Brothier, était de renforcer les connaissances des participants, mais aussi de mettre en avant les liens entre le personnel hospitalier et les professionnels de santé extérieurs, mais aussi à l’intérieur même du CHU.

« La prise en charge des plaies complexes est primordiale, indique le Pr Xavier Dufour, chef de service d’ORL et de chirurgie cervico-maxillo-faciale. Ce type de soin est habituellement effectué au CHU, mais, lorsque la sortie du patient est proposée par l’équipe médicale, celui-ci peut être pris en charge par une infirmière libérale, il est donc important que les consignes données par l’infirmière hospitalière soient bien comprises et respectées. » « Cette transversalité s’applique aussi à l’intérieur même de l’hôpital, précise Séverine Masson, directrice adjointe du CHU de Poitiers. Des infirmières référentes sont spécifiquement formées pour traiter les plaies complexes, elles sont mobiles et peuvent intervenir dans n’importe quel service. »

De nombreux sujets en lien avec la réparation tissulaire ont été évoqués par des professionnels du CHU tout au long de la journée : hypnoanalgésie, hospitalisation à domicile, nutrition, diabète, médecine vasculaire ou encore chirurgie réparatrice.

Conférence : la mémoire de l’Hôtel-Dieu ravivée par le récit des ses témoins

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La soirée, animée par Alain Defaye, directeur départemental de La Nouvelle République – Centre Presse, a donné la parole aux témoins ayant travaillé à l’Hôtel-Dieu, en présence de l’auteur, Gérard Simmat. Des témoins sans qui cet ouvrage historique n’aurait pu exister sous une forme aussi riche, a rappelé Séverine Masson, directrice générale adjointe du CHU. Parmi eux, le plus ancien représentant médical, le Dr Jacques Farisy, qui a exercé à l’Hôtel-Dieu de 1945 à 1951. Avec émotion et précision, les échanges ont ravivé les souvenirs des sœurs de la Sagesse, de la gouvernance de Georges Alix et de Daniel Moinard, des grandes réformes de la loi Debré et des temps pleins hospitaliers, mais aussi des progrès de la médecine et de ses appareils, des conditions d’hygiène, avec l’apparition tardive du matériel à usage unique, ou encore des bains sulfureux… La soirée s’est conclue par un temps de partage plus convivial autour d’un verre de remerciement à ces précieux témoins de l’histoire de l’hôpital de Poitiers.

Coopération internationale : des directeurs des soins chinois formés au CHU de Poitiers

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Ce partenariat entre les hôpitaux français et pékinois s’étale sur trois ans. Il a pour objectif de former 75 directeurs des soins et 3000 infirmières. Ce voyage est le premier pour cette délégation qui vient avec des objectifs bien précis : découvrir le système de santé français, les métiers des soins en France, les techniques de gestions des soins (qualité, suivi…), les outils utilisés par la direction des ressources humaines (recrutement, formation, gestion des carrière…) et les services de gériatrie et de chirurgie ambulatoire. « La prise en charge des personnes âgées est un problème nouveau en Chine, souligne Luo Xiangbao, le directeur des finances du Bureau de santé et de la planification familial de Pékin. La gériatrie est donc un sujet très important pour nous et nous sommes impatient de découvrir ce service. »

Urgences, cancérologie et gériatrie
La coordination générale des soins et la direction de la coopération internationale du CHU ont donc organisé une formation qui s’est terminée par une immersion, par petits groupes, dans trois des secteurs de hôpital qui sont au cœur des problématiques chinoises :  les urgences, la cancérologie et la gériatrie. La délégation a été très impressionnée par les nombreux outils de pilotage, mais aussi par les liens étroits entre le cadre supérieur et le chef de pôle, avec un travail en complémentarité et un rôle propre bien identifié, alors qu’en Chine, le médecin est encore le seul décideur dans son service.

Le 10 décembre prochain, la délégation des directeurs de soins de Pékin présentera au ministère de la Santé une synthèse de leur semaine de formation, afin de dresser le bilan de leur expérience au CHU de Poitiers. D’ores et déjà, rendez-vous est pris l’année prochaine pour poursuivre la formation de nouveaux directeurs de soins de Pékin avec pour objectif de dialoguer, d’apprendre, de partager et d’échanger pour toujours garantir aux patients une meilleure offre de soins.

Registre général des cancers de Poitou-Charentes : le recueil de données au service de la recherche et de la santé publique

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Le registre général des cancers de Poitou-Charentes collecte des données auprès de 125 structures (anatomopathologistes, Assurance maladie, établissements de santé, réseaux de cancérologie, laboratoires d’hématologie biologique) situées dans la région, mais aussi dans les départements limitrophes et en Île-de-France, afin de suivre l’intégralité du parcours de soin des patients. Cela lui permet d’établir des statistiques et de déterminer l’épidémiologie des cancers dans notre région, et devient le plus important registre des cancers en France en raison de sa couverture géographique. « Le registre général des cancers de Poitou-Charentes est un partenaire majeur pour le CHU, a indiqué Aurélien Delas, le directeur de la recherche du CHU de Poitiers. C’est un outil de travail précieux pour la recherche, mais aussi un outil d’aide à la décision concernant les politiques de santé publique. »

55 000 tumeurs en cinq ans
Ces données vont bientôt venir grossir la base nationale des registres du cancer, qui ne couvre actuellement que 20% de la population française (les estimations nationales sont des extrapolations réalisées à partir de la base nationale). « Nous avons compilé cinq ans de données, soit plus de 55 000 tumeurs sur la seule période 2008 – 2012, ce qui nous permet désormais de faire une restitution et une analyse avec suffisamment de recul et sur des données d’excellente qualité, affirme le Dr Defossez. » Cette restitution va être publiée dans les semaines qui viennent, mais quelques données ont déjà été diffusées. Ainsi, 11 058 nouveaux cas de cancer par an ont été diagnostiqués en moyenne entre 2008 et 2012 en Poitou-Charentes. Le cancer de la prostate chez les hommes et celui du sein chez les femmes sont les plus fréquents avec respectivement 1791 et 1544 nouveaux cas par an, suivi par le cancer colorectal avec 1416 nouveaux cas tous sexes confondus. Mais le type de cancer le plus meurtrier reste celui qui touche le système respiratoire – poumons, bronches et trachée –qui par sa fréquence et sa létalité est responsable à lui seul chaque année de 20% des décès par cancer en Poitou-Charentes.

Animations : les animaux de la ferme s’invitent au marché de Noël en gériatrie

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Au pôle de gériatrie, le pavillon Aristide-Maillol a pris ses plus beaux airs de fêtes, le mercredi 9 décembre, à l’occasion du marché de Noël. Une quinzaine d’exposants, associations et producteurs fermiers locaux, ont investi les lieux pour la journée, également rythmée par la visite du père Noël et le spectacle de la ferme de Tiligolo, dont les oies, moutons, chèvres et autres cochons ne sont pas passés inaperçus !

Médecine du sport au CHU : de l’amateur au sportif de haut niveau, un suivi unique dans la Vienne

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Le cycliste poitevin vient au CHU de Poitiers par praticité, mais aussi parce que le CHU est le seul établissement à posséder un plateau technique de médecine du sport dans la Vienne et un des deux seuls dans tout le Poitou-Charentes, l’autre étant à Angoulême (Charente). « Notre objectif est de pouvoir prendre en charge l’ensemble des sportifs de la région, ajoute Laurence Mille. Cela s’inscrit dans le développement du sport santé, préconisé par le ministère de la Santé. »

Un travail en réseau
Le Dr Mille travaille donc en partenariat avec les praticiens des urgences et de radiologie afin d’optimiser la prise en charge des sportifs blessés. « J’ai aussi tissé un réseau avec les autres praticiens du CHU, notamment avec ceux de cardio-pédiatrie, de neurologie, d’orthopédie-traumatologie, de médecine interne et d’endocrinologie, détaille-t-elle. C’est un échange entre nous, je les sollicite quand j’ai besoin d’un avis spécifique et parfois ce sont eux qui m’envoient des patients, notamment des personnes souffrant de maladies musculaires et des patients diabétiques ou obèses qui ont besoin d’aide pour s’initier à une activité physique et régulière. »

Sylvain Chavanel n’a, lui, pas besoin de ce type de conseil. « Cela fait dix-sept ans que je suis professionnel, je me connais bien et je suis habitué à ce genre d’exercice, mais pour un jeune qui débute, c’est utile », précise-t-il. Bardé de capteurs lors du test d’effort, il parvient à développer une puissance de 500 watts au bout d’une vingtaine de minutes. Alors que son rythme cardiaque atteint les 190 pulsations minutes, le Dr Mille a toutes les données qu’il lui faut pour donner un avis favorable à l’obtention de sa licence. Tant mieux, car le Poitevin a pour objectif de s’attaquer au record de l’heure en 2016.

Un profil polyvalent

Le Dr Laurence Mille a plusieurs casquettes au sein et en dehors du CHU de Poitiers. En plus d’assurer seule les consultations de médecine du sport, elle est aussi praticien hospitalier dans le service d’orthopédie-traumatologie pour les consultations de traumatologie du sport. Elle espère être bientôt rejointe par Pauline Larbère, actuellement chef de clinique assistante en médecine physique et réadaptation, et motivée pour continuer à développer la médecine et la physiologie du sport au CHU. En dehors de l’hôpital, le Dr Mille a également une activité de médecin du sport libéral en cabinet et dans plusieurs structures sportives de haut niveau. Ainsi, elle est le médecin de l’équipe de France U17 garçon de handball et du centre de formation du Poitiers basket 86. « Mes formations en cardiologie, traumatologie du sport, physiologie et ostéopathie me permettent d’optimiser la prise en charge des sportifs », indique-t-elle.


Oncologie médicale : nouvelle unité, nouvelle organisation

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Seulement quarante-huit heures après son ouverture, les 14 lits de l’unité ont été occupés. Les patients bénéficient des mêmes prises en charge, des mêmes soins de support qu’au PRC, avec des transports adaptés. Les locaux, spacieux et lumineux, contribuent à l’amélioration de l’environnement de travail des professionnels.

La particularité de cette extension de l’oncologie médicale à Maillol, c’est aussi son organisation de travail en douze heures (7h45-20h / 19h45-8h). Une volonté médicale, paramédicale et institutionnelle basée sur la prise en charge du patient et sur l’organisation soignante. Toutes les infirmières et les aidessoignantes qui travaillent dans cette unité en ont fait le choix et, après une période d’adaptation, les professionnels se sont rapidement appropriés ce nouveau mode d’organisation grâce à leur investissement et leur grande implication.

Favoriser la continuité des soins avec l’organisation en douze heures
« L’organisation en douze heures permet un meilleur respect des rythmes des patients, ainsi qu’une continuité des soins, individualisés, sur la journée », détaillent Catherine Petonnet, cadre supérieur de santé du pôle cancérologie, et Mélanie Coutant, cadre de l’unité à Maillol. Parmi ses avantages, elles évoquent également le lissage de la charge en soins sur la journée, offrant la possibilité de reporter certaines activités du matin à l’après-midi. « Cette organisation permet en outre de diminuer le nombre d’interlocuteurs sur la journée, et donc les possibles pertes d’informations, au contact d’une même équipe soignante. Enfin, les temps de repos sont plus importants entre les périodes de travail et le fait de travailler moins de jour réduit les temps de transport domicile-travail », avancent-elles.

Le Dr Emmanuelle Gautier, oncologue, reconnaît quant à elle que ce mode de fonctionnement permet plus d’interactions entre les équipes médicales et paramédicales : « La notion de travail en équipe prend tout son sens, affirme-t- elle. Pour le médecin, le patient et les familles, c’est aussi le confort de s’adresser à la même infirmière du matin au soir ».

Le planning en douze heures, elles en parlent…

Caroline Charretier, aide-soignante
Nous sommes une petite équipe et avec un planning en douze heures, on apprend à mieux se connaître. Ici l’ambiance est plus calme qu’au PRC, car il y a moins de va-et-vient et nous nous consacrons entièrement aux patients d’hospitalisation complète.
Claire Minault, infirmière
J’avais envie de participer à l’ouverture d’une nouvelle unité et d’expérimenter un planning qui nous permet de mieux nous adapter au rythme du patient. L’éloignement géographique était un peu perturbant au début, cela nécessite plus de démarches pour les demandes d’examens, de bilans ou de transports.
Claire, infirmière
La charge de travail est importante car nous soignons des patients lourds, qui sont souvent très demandeurs et inquiets. Mais nous avons en retour plus de temps pour nos familles, d’ailleurs nous ne sommes que des femmes dans le service ! (rires)
Daphné Laera, aide-soignante
J’ai choisi cette organisation de travail parce qu’elle permet d’étaler des soins et de suivre le patient sur la journée. Nous travaillons moins de jours dans la semaine, et jamais plus de trois jours de suite, cela laisse plus de place à notre vie personnelle.

Interruption volontaire de grossesse au CHU : éviter le parcours du combattant aux patientes

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« Le personnel médical est formé à cette activité, notamment ceux qui se spécialisent en optant pour le diplôme universitaire de gynécologie-obstétrique, explique le Pr Fabrice Pierre, chef du pôle femme-mère-enfant du CHU de Poitiers.  Cela concerne les hospitaliers, comme les internes et les chefs de clinique par exemple, mais aussi les médecins généralistes, puisqu’une cinquantaine d’entre eux effectuent cette formation chaque année. » Ces derniers sont ensuite aptes à prescrire des IVG médicamenteuses (seulement possible avant 7 semaines d’aménorrhée) à domicile, une des trois possibilités qui s’offrent aux patientes avec l’IVG médicamenteuse à l’hôpital et l’IVG chirurgicale.

Quand Catherine Coutelle demande comment se fait le choix de l’acte, Richard Sarfati, responsable du centre de planification et d’éducation familiale, répond aussitôt : « On privilégie toujours le choix de la patiente. Je tiens à ce que ce choix soit respecté. »

Éducation à la sexualité
La députée a ensuite visité les locaux dédiée aux patientes ayant pris rendez-vous pour une consultation IVG. « Dès la première consultation, nous leur donnons un calendrier de leur prise en charge et leur proposons de rencontrer un psychologue, ajoute Ghislaine Marcault, sage-femme cadre supérieur. Il se passe moins de quinze jours entre leur premier appel au centre et le jour de l’IVG. »

Pour Richard Sarfati, qui intervient dans plusieurs établissements scolaires, l’éducation à la sexualité est primordiale pour faire baisser le nombre d’IVG. « Il faut le faire dès la primaire », assure-t-il. « Vous avez raison, reprend Catherine Coutelle. En 2003, nous avons voté une loi qui impose deux heures d’éducation à la sexualité par an, mais elle n’est pas respectée… »

Le nombre d’IVG baisse au CHU de Poitiers

En France, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) est autorisée jusqu’à 14 semaines d’aménorrhée. Dans la Vienne, il est pratiqué dans les centres hospitaliers (CH) de Loudun, de Châtellerault et de Montmorillon et au CHU de Poitiers. Le CHU et le CH de Châtellerault dernier sont les seuls établissements qui pratiquent cet acte entre 12 et 14 semaines d’aménorrhée. Environ la moitié des patientes choisissent l’IVG médicamenteuse à l’hôpital, 40% optent pour l’IVG chirurgical et 12% pour l’IVG médicamenteuse à domicile. Depuis 2013, le nombre d’IVG pratiqué au CHU est en baisse de près de 10%. Il établira à environ 510 en 2015. Cette année, la moitié des IVG étaient due à une absence de contraception et l’autre moitié à un échec de contraception. Il concerne principalement des femmes entre 21 et 35 ans.

Pour prendre rendez-vous au centre de planification et d’éducation familiale : 05 49 44 48 31.

Ligne d’information régionale pour la contraception et les IVG :  05 49 44 46 46.

Pédiatrie : les Jabberwocky, nouveaux parrains de l’association Un Hôpital pour les enfants

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Un endroit familier des trois musiciens qui, parallèlement à leur activités artistiques, sont entrés cette année en sixième année de médecine, avec des horaires aménagés. « C’est la première fois qu’on propose ce genre d’atelier, on a essayé d’être pédagogues, de jouer les grands frères, en montrant aux enfants comment on s’amuse, nous aussi, avec la musique. Nos instruments électroniques ne sont pas familiers et éveillent la curiosité. On était là pour faire passer aux jeunes un bon moment, leur transmettre quelque chose. Ce sera à renouveler ! », ont avancé les trois artistes, qui réfléchissent déjà à un projet de concert solidaire avec Thomas Sidibé, à Poitiers, au profit de l’association Un Hôpital pour les enfants.

Le programme hospitalier de recherche clinique subventionne quatre projets innovants au CHU

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Deux projets seront financés dans le cadre du programme hospitalier de recherche clinique national (PHRCN) : « Transplantation kératinocytaire préputiale autologue en suspension versus greffe de peau fine en filet chez les garçons âgés de moins de 15 ans porteurs d’une brûlure de deuxième degré intermédiaire et profonde et d’une surface brûlée (TBSA : total burn surface area) inférieure à 20% », du Dr Jiad Mcheik (638 081,40 euros) ; et « Oxygénothérapie à haut débit nasal avec ou sans ventilation noninvasive en post-extubation : étude randomisée contrôlée multicentrique », du Pr Arnaud Thille (644 316 euros).

Deux autres projets seront quant à eux subventionnés dans le cadre du programme hospitalier de recherche clinique interrégional (PHRCI) : « Comparaison de l’oxygénothérapie nasale à haut débit de ventilation non invasive dans l’insuffisance respiratoire aiguë des patients immunodéprimés », du Dr Rémi Coudroy (296 445 euros) ; et « Stimulation transcrânienne directe à courant continu chez les patients souffrant de troubles obsessionnel compulsif sévère résistant », du Dr Damien Heit, du Centre hospitalier Laborit (165 933 euros).

Journée de recherche Tours-Poitiers-Limoges : remise des prix des concours de communications orales et posters

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Découvrez les lauréats :

  • Marc Legrand, prix de la meilleure présentation orale en recherche fondamentale
  • Laura Hatchondo, prix de la meilleure présentation orale en recherche clinique
  • Iseline Boutaud, prix de la meilleure présentation affichée en recherche fondamentale
  • Elise Del, prix de la meilleure présentation affichée en recherche clinique

 

Evénement organisé avec le soutien des présidents d’université, des doyens des facultés de médecine et de pharmacie, des directeurs généraux et des présidents de CME des CHU de Tours, Poitiers et Limoges.

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